S
ans doute lassé du peu d'intérêt manifesté jusqu'ici à sa série Castlevania, Konami a décidé de lui offrir un reboot en affichant, cette fois, une forte ambition de blockbuster.
Pour mettre au monde l'enfant prodige, la société s'est adressée au studio espagnol MercurySteam, doté d'une incroyable foi dans le jeu vidéo.
Dans Lords of Shadow comme dans leur précédent titre, Clive Barker's Jericho, on retrouve ce même besoin viscéral de faire plaisir au joueur, de lui donner. Au point que les premières minutes font penser à un copier-coller de tout ce qui marche, ailleurs. Une impression seulement.
Car Lords of Shadow est doté d'une identité forte : il est intègre et puissant ...
La suite sur : Gameweb
ans doute lassé du peu d'intérêt manifesté jusqu'ici à sa série Castlevania, Konami a décidé de lui offrir un reboot en affichant, cette fois, une forte ambition de blockbuster.
Pour mettre au monde l'enfant prodige, la société s'est adressée au studio espagnol MercurySteam, doté d'une incroyable foi dans le jeu vidéo.
Dans Lords of Shadow comme dans leur précédent titre, Clive Barker's Jericho, on retrouve ce même besoin viscéral de faire plaisir au joueur, de lui donner. Au point que les premières minutes font penser à un copier-coller de tout ce qui marche, ailleurs. Une impression seulement.
Car Lords of Shadow est doté d'une identité forte : il est intègre et puissant ...
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